Un article qui m'a valu beaucoup de commentaires...
« Ne faudrait-il pas prendre le pari de légaliser la consommation personnelle de cannabis à travers un contrôle de la production et de l'importation, comme c'est le cas avec l'alcool ?"
"Depuis que je suis maire du XVIIIe arrondissement, aucun habitant n'est venu se plaindre des consommateurs de cannabis. Mais du crack, oui. Est-ce que le cannabis est dangereux ? Oui. Est-ce que ça touche la santé ? Bien sûr. Le sommeil, les réflexes en prennent un coup, la capacité à travailler, être éveillé, suivre des études, sûrement. Je ne joue pas l'ignorant, mais est-ce bien différent de l'alcool », explique t-il au Parisien.
Le 26 mars sur Le Post j’ai pu lire : « Le 26 février 2010 on apprenait que le maire du 18ème arrondissement, Daniel Vaillant, a créé un groupe de travail parlementaire sur la légalisation du cannabis en France. Cela faisait suite à son annonce en octobre 2009 de vouloir la légalisation du cannabis. Aujourd'hui, le maire de Sevran, Stéphane Gatignon, à la suite d'une altercation musclée entre bandes rivales sous fond de trafic de drogue, insiste pour que l'on ouvre le débat sur la légalisation du cannabis »
Drôle de substance que le cannabis. Elle séduit les jeunes de plus en plus tôt et inquiète les parents et les professionnels de la santé. Illicite, elle est cependant à la portée de tous et les adolescents la découvrent en moyenne à 15 ans. À noter que toutes les catégories sociales sont concernées, les quartiers chics comme les banlieues défavorisées. Il faut dire que l’offre ne manque pas : on estime qu’un adolescent se voit proposer un joint deux fois par mois, ce qui fait 24 fois par an. Il aura donc – estimation basse – 140 occasions de fumer pendant les années collège-lycée ! Comment, à l’âge de tous les possibles, résister à l’envie d’essayer, ne serait-ce qu’une fois, pour voir ? Cela semble si anodin, sans danger. La preuve, on s’en procure comme on veut, et le plus souvent auprès des amis ou de connaissances de ces derniers. Le shit est devenu un produit de proximité, au même titre que l’alcool. « Dès la classe de troisième, voire avant, ils fument à l’occasion, plutôt le samedi, lors d’une fête », affirme Daniel Marcelli, psychiatre.
J’avoue que ces lectures m’ont donné froid dans le dos. Pourtant, comme beaucoup, je ne trouve pas que les interdits soient la panacée dans ce genre de problème. La prohibition entraîne le marché noir, le goût de l’interdit entraîne une explosion de la consommation. Seulement voilà, moi j’ai été maman d’une jeune fille qui est tombée dans la drogue. Le petit pétard occasionnel est devenu quotidien et moi, je ne voyais rien (le célèbre ça n’arrive qu’aux autres, vous connaissez) Quand j’ai découvert la situation, il était déjà trop tard ; elle était accro. J’ai pris peur, car je la voyais devenir différente : ces yeux dans le vague, elle ne s’intéressait plus à rien, devenait paranoïaque, s’enfermant dans une solitude qu’elle ne supportait pas mais qu’elle engendrait elle-même par ses comportements agressifs et changeants. Si vous avez déjà lu mes quelques écrits, vous savez qu’elle a mis fin à ses jours le 30 août 2005. Je vous entend déjà réagir, ce n’est pas un joint qui l’a mise dans cet état… Mon enfant souffrait d’un trouble du comportement qu’on appelle « Borderline ». Médicalement, effets et dangers du cannabis sont variables selon les individus et le mode de consommation. L'ivresse cannabique (euphorie, modifications sensorielles, relaxation, mais aussi baisse des réflexes, possibles nausées, vomissements) survient en général dans les 2 heures suivant la prise et dure quelques heures.
Cette ivresse peut aussi entraîner la décompensation aiguë d'une psychose, c'est-à-dire le déclenchement ou l'accentuation d'une pathologie psychiatrique lors de la prise de cannabis.
Le débat sur la légalisation du cannabis est ouvert depuis quelques années déjà. Il est de parti pris pour moi que de vous soumettre une interview (Nouvel Obs-février 2005) du docteur Xavier Pommereau, spécialiste des comportements à risque. J’ai tant lu sur ce sujet et je partage totalement l’analyse du Docteur Pommereau :
Le Nouvel Observateur. – Vous avez ouvert le centre Abadie en 1992. En douze ans, comment a évolué, chez vos jeunes patients, la consommation de cannabis ?
Xavier Pommereau.– « On a longtemps sous-estimé l’emprise du cannabis chez les adolescents. Mais depuis cinq ans c’est frappant : on est passé des années lycée aux années collège. Le nombre de consommateurs a augmenté, et ils sont de plus en plus jeunes. Cela vaut d’ailleurs pour tous les troubles du comportement : tentatives de suicide, scarifications, ivresses répétées, conduites dangereuses… » « Aujourd’hui, les ados n’arrivent pas à trouver leurs distances par rapport à leurs parents. Du coup, ils se sont inventé une nouvelle planète, la planète ado. Entre 8 ans et 25 ans, il y a des postures, des looks, des consommations – tabac, alcool, cannabis... – qui servent de rites de passage et disent : « Je suis ado. » Ça, ça n’a jamais existé auparavant. A coup de gel pour se mettre les cheveux en pétard, de paillettes, de mode gothique, ils se fabriquent un uniforme. A travers l’apparence, 85% des ados arrivent globalement à prendre leurs marques – au sens propre comme au sens figuré – par rapport aux parents. Les autres, 15%, s’en sortent mal parce qu’ils ont de bonnes raisons d’avoir des troubles de l’identité »
N. O. – Lesquelles ?
X. Pommereau. – « Il y a la maladie mentale – psychose, schizophrénie, dépression grave... –, qui concerne 20% de ces 15%. »
N. O. – Existe-t-il des marqueurs du malaise adolescent ?
X. Pommereau. –« Le besoin d’agir dans la rupture de façon répétée, prononcée : « s’arracher » (partir), « se déchirer » (la tête), « se faire des frayeurs » (prendre des risques)... N’importe quel ado a envie de connaître ces expériences. Pour celui qui va bien, cela va lui donner un seuil. Il définira ses limites, et l’expérience lui servira de leçon. L’ado qui va mal cherche plus que cela et va plus loin. Il a besoin de rompre pour se sentir exister, pour ne plus souffrir, pour qu’on le reconnaisse »
Un débat aussi vaste ne se règle pas en quelques lignes mais vous parents, êtes-vous si sûrs que votre enfant ne fait pas partie de ces 15% d’adolescents à risque ???
J’ai lu sur le
site CareVox dans un article du 25 mars 2010 que « Les habitants de
Californie vont se prononcer en novembre prochain sur une vraie légalisation du
cannabis, qui dépasserait ainsi pour la première fois aux USA le cadre de
l’usage thérapeutique. Si le texte est adopté, les californiens pourraient
fumer de la marijuana ou en cultiver à des fins personnelles, en toute
légalité. Cette nouvelle étape intervient alors qu’en France Daniel Vaillant,
maire du 18ème arrondissement de Paris, a crée un groupe parlementaire sur la
légalisation du cannabis. »
Le
09 octobre 2009, Daniel Vaillant, élu socialiste du XVIIIème arrondissement de
Paris s’est déclaré favorable à une vente réglementée du cannabis.« Ne faudrait-il pas prendre le pari de légaliser la consommation personnelle de cannabis à travers un contrôle de la production et de l'importation, comme c'est le cas avec l'alcool ?"
"Depuis que je suis maire du XVIIIe arrondissement, aucun habitant n'est venu se plaindre des consommateurs de cannabis. Mais du crack, oui. Est-ce que le cannabis est dangereux ? Oui. Est-ce que ça touche la santé ? Bien sûr. Le sommeil, les réflexes en prennent un coup, la capacité à travailler, être éveillé, suivre des études, sûrement. Je ne joue pas l'ignorant, mais est-ce bien différent de l'alcool », explique t-il au Parisien.
Le 26 mars sur Le Post j’ai pu lire : « Le 26 février 2010 on apprenait que le maire du 18ème arrondissement, Daniel Vaillant, a créé un groupe de travail parlementaire sur la légalisation du cannabis en France. Cela faisait suite à son annonce en octobre 2009 de vouloir la légalisation du cannabis. Aujourd'hui, le maire de Sevran, Stéphane Gatignon, à la suite d'une altercation musclée entre bandes rivales sous fond de trafic de drogue, insiste pour que l'on ouvre le débat sur la légalisation du cannabis »
Drôle de substance que le cannabis. Elle séduit les jeunes de plus en plus tôt et inquiète les parents et les professionnels de la santé. Illicite, elle est cependant à la portée de tous et les adolescents la découvrent en moyenne à 15 ans. À noter que toutes les catégories sociales sont concernées, les quartiers chics comme les banlieues défavorisées. Il faut dire que l’offre ne manque pas : on estime qu’un adolescent se voit proposer un joint deux fois par mois, ce qui fait 24 fois par an. Il aura donc – estimation basse – 140 occasions de fumer pendant les années collège-lycée ! Comment, à l’âge de tous les possibles, résister à l’envie d’essayer, ne serait-ce qu’une fois, pour voir ? Cela semble si anodin, sans danger. La preuve, on s’en procure comme on veut, et le plus souvent auprès des amis ou de connaissances de ces derniers. Le shit est devenu un produit de proximité, au même titre que l’alcool. « Dès la classe de troisième, voire avant, ils fument à l’occasion, plutôt le samedi, lors d’une fête », affirme Daniel Marcelli, psychiatre.
J’avoue que ces lectures m’ont donné froid dans le dos. Pourtant, comme beaucoup, je ne trouve pas que les interdits soient la panacée dans ce genre de problème. La prohibition entraîne le marché noir, le goût de l’interdit entraîne une explosion de la consommation. Seulement voilà, moi j’ai été maman d’une jeune fille qui est tombée dans la drogue. Le petit pétard occasionnel est devenu quotidien et moi, je ne voyais rien (le célèbre ça n’arrive qu’aux autres, vous connaissez) Quand j’ai découvert la situation, il était déjà trop tard ; elle était accro. J’ai pris peur, car je la voyais devenir différente : ces yeux dans le vague, elle ne s’intéressait plus à rien, devenait paranoïaque, s’enfermant dans une solitude qu’elle ne supportait pas mais qu’elle engendrait elle-même par ses comportements agressifs et changeants. Si vous avez déjà lu mes quelques écrits, vous savez qu’elle a mis fin à ses jours le 30 août 2005. Je vous entend déjà réagir, ce n’est pas un joint qui l’a mise dans cet état… Mon enfant souffrait d’un trouble du comportement qu’on appelle « Borderline ». Médicalement, effets et dangers du cannabis sont variables selon les individus et le mode de consommation. L'ivresse cannabique (euphorie, modifications sensorielles, relaxation, mais aussi baisse des réflexes, possibles nausées, vomissements) survient en général dans les 2 heures suivant la prise et dure quelques heures.
Cette ivresse peut aussi entraîner la décompensation aiguë d'une psychose, c'est-à-dire le déclenchement ou l'accentuation d'une pathologie psychiatrique lors de la prise de cannabis.
Le débat sur la légalisation du cannabis est ouvert depuis quelques années déjà. Il est de parti pris pour moi que de vous soumettre une interview (Nouvel Obs-février 2005) du docteur Xavier Pommereau, spécialiste des comportements à risque. J’ai tant lu sur ce sujet et je partage totalement l’analyse du Docteur Pommereau :
Le Nouvel Observateur. – Vous avez ouvert le centre Abadie en 1992. En douze ans, comment a évolué, chez vos jeunes patients, la consommation de cannabis ?
Xavier Pommereau.– « On a longtemps sous-estimé l’emprise du cannabis chez les adolescents. Mais depuis cinq ans c’est frappant : on est passé des années lycée aux années collège. Le nombre de consommateurs a augmenté, et ils sont de plus en plus jeunes. Cela vaut d’ailleurs pour tous les troubles du comportement : tentatives de suicide, scarifications, ivresses répétées, conduites dangereuses… » « Aujourd’hui, les ados n’arrivent pas à trouver leurs distances par rapport à leurs parents. Du coup, ils se sont inventé une nouvelle planète, la planète ado. Entre 8 ans et 25 ans, il y a des postures, des looks, des consommations – tabac, alcool, cannabis... – qui servent de rites de passage et disent : « Je suis ado. » Ça, ça n’a jamais existé auparavant. A coup de gel pour se mettre les cheveux en pétard, de paillettes, de mode gothique, ils se fabriquent un uniforme. A travers l’apparence, 85% des ados arrivent globalement à prendre leurs marques – au sens propre comme au sens figuré – par rapport aux parents. Les autres, 15%, s’en sortent mal parce qu’ils ont de bonnes raisons d’avoir des troubles de l’identité »
N. O. – Lesquelles ?
X. Pommereau. – « Il y a la maladie mentale – psychose, schizophrénie, dépression grave... –, qui concerne 20% de ces 15%. »
N. O. – Existe-t-il des marqueurs du malaise adolescent ?
X. Pommereau. –« Le besoin d’agir dans la rupture de façon répétée, prononcée : « s’arracher » (partir), « se déchirer » (la tête), « se faire des frayeurs » (prendre des risques)... N’importe quel ado a envie de connaître ces expériences. Pour celui qui va bien, cela va lui donner un seuil. Il définira ses limites, et l’expérience lui servira de leçon. L’ado qui va mal cherche plus que cela et va plus loin. Il a besoin de rompre pour se sentir exister, pour ne plus souffrir, pour qu’on le reconnaisse »
Un débat aussi vaste ne se règle pas en quelques lignes mais vous parents, êtes-vous si sûrs que votre enfant ne fait pas partie de ces 15% d’adolescents à risque ???
par personne44
(IP:xxx.xx4.216.215) le 6 avril 2010 a 13H59
Bonjour à
l’auteur,
Sincèrement,
je pense qu’il y a urgence de légaliser le cannabis, qu’il soit récréatif ou
thérapeutique ou même encore transformer parmi les quelques 5000 possibilités
qu’offre cette plante. Cette dépénalisation et légalisation nous permettrait de
mieux comprendre ces principes, ses effets, ses possibilités, mais aussi d’avoir
une meilleur qualité contrairement au marché noir, ou effectivement, il y a
grand danger pour nos enfants et les dérives qui peuvent s’en suivre comme vous
l’avez malheureusement expérimenter. Tout les problèmes résulte de nos élus qui
ne cherche aucune information sur le sujet hormis celle des lobbys
industrielles qui ont compris depuis plus de cent ans qu’avec cette plante,
leurs industries du papier, du pétrole, de la chimie et j’en passe et des
meilleurs, seraient à tout jamais fini. La propagande de diabolisation du
cannabis mis en place par ces dirigeants ultra puissant à permis de continuer
d’exploiter et détruire nos forêts, de ne pas donner d’alternatives aux
énergies comme le pétrole et l’électricité ou encore de matériaux de
construction sains et naturel. Nous avons aujourd’hui accès aux connaissances
grâce au net, mais aussi à l’histoire. De savoir que nous pourrions vivre en
harmonie avec cette plante et supprimer pollution, famine, d’avoir des
matériaux de construction sains, de guérir bien des maux, de dépolluer les
terres qui sont toute contaminés par l’industrie pétro-chimique m’agace de plus
en plus tellement il y a évidence de la volonté politique à continuer de nous
empoisonner et nous racketter en passant par tout les moyens. J’espère ne pas
vous offenser par mes propos "tichote", je comprends votre douleur et
je m’en excuse si c’est le cas. Bien à vous.
par Monsieur
2010 (IP:xxx.xx1.180.140) le 6 avril 2010 a 17H19
@Personne 44
Vous avez tout à fait raison, je pense la même chose que vous sur ce sujet.
@L’auteur Je
ne sais pas comment vous avez éduqué vos enfants et je ne connais pas votre
histoire personnel, mes enfants ont en tout cas aucun problèmes de ce coté et
savent parfaitement gérer les drogues. Il est vrai que j’ai était jeune et que
je connais parfaitement ce sujet, il m’a donc était facile de leur expliquer
les effets des diverses substances licites et illicites sans tomber dans les
clichés et les mensonges que véhicules certains ‘’anti’’. Du coup elles n’ont
jamais eu besoin de me cacher leurs expériences, nous en parlions, nous en
rions. Je sais que les copines de mes filles ‘’hallucinent’’ de voir à quel
point il est facile de communiquer avec moi et je sais que mes filles sont
fière d’avoir un papa qui n’est pas ‘’has been’’ (pour reprendre leurs mots).
Le fait d’avoir un papa décompléxé, qui écoute de la musique contemporaine, qui
va dans les galeries d’art contemporain, regarde des films d’auteurs, qui
refuse de regarder la télé… me permet aussi de briller dans leurs yeux. Je peux
communiquer avec elles sur plusieurs plans, comme papa, comme conseiller, comme
copain… J’ai constaté je ne sais combien de fois chez les copines de mes filles
que c’est vraiment le manque d’ouverture, de culture, d’écoute, de
communication… qui entraîne chez elles un regards négatif sur leurs parents.
Combien de fois j’ai vu des parents qui se croyaient éclairé, compréhensif, à
l’écoute alors qu’en fait ils ne l’étaient pas et essayé de dominer leurs
enfants et pensaient avoir le monopole sur comment leurs enfants devaient agir
en société… Enfin bon, c’est compliqué tout cela… tout ce que je sais c’est que
si l’on ne brille pas dans les yeux de nos enfants (par notre culture, notre
écoute, notre savoir faire, notre honnêteté…) le moins ils nous écoute, le plus
ils sont malheureux.
Je ne sais
pas si vous devez vous remettre en question ou pas… pour moi la meilleur des
réponses surtout vis-à-vis de mes enfants est de toujours se remettre en
question et de jamais croire que notre voix est la meilleur
(IP:xxx.xx0.147.227)
le 6 avril 2010 a 18H41
C’est
marrant, j’aurais pu écrire ce post, c’est exactement ce que je vis avec mes
enfants (2 filles) ça rassure de voir qu’on est pas seul....
(IP:xxx.xx6.251.163)
le 6 avril 2010 a 17H15
je n’ai
qu’un conseil a donner aux personnes qui veulent depenaliser le
cannabis,attention le cannabis surdose peut entrainer des effets irrevercibles
sur la sante notamment schizophrenie,
dans ce
contexte, quel legislateur pourrait en toute bonne fois legiferer sur un
produit a haute toxicite,comment accepter la banalisation de ce produit quand
on sait que les hopitaux psychiatriques acceuillent un pourcentage non
negligeable de toxicomanes et en majorite des jeunes.
c’est vrai
que l’opinion des autres en realite ca ne sert jamais a grand chose , mais au
moins laissez la chance aux jeunes qui n’ont rien demande
(IP:xxx.xx0.147.227)
le 6 avril 2010 a 18H35
J’ai fumé
plein de cannabis dans ma jeunesse, et je ne suis pas schyzophrène, seulement
les jeunes qui sont déjà mal dans leur peau auront une attitude excessive qui
peut conduire à des trouble de la personnalité, mais c’est pas la faute du
cannabis comme l’alcool ou le sexe de nos jours. De mon temps le cana c’était
pour faire la fête et pour beaucoup de jeunes aujourd’hui c’est encore le cas,
il ne faut pas généraliser.. C’est encore des arbres que l’on plante pour
cacher la forêt, des jeunes sont mal dans leur pompes à cause du milieu
familial ou social et il y a de quoi... C’est là qu’est le premier malaise, le
cannabis ou autre ne vient qu’après enfoncer le clou pour certain mais
certainement pas tous. Et puis faut arrèter l’hypocrisie, avec tous ce qui se fume
comme cannabis en france chaque jours , et ben il en faut un paquet de tonnes
pour alimenter tout ça, alors si ça ça sert pas des intérèts financiers qui
tiennent à rester secret je me coupe un doigt.
par Béret
Man (IP:xxx.xx5.163.8) le 7 avril 2010 a 10H22
Moi qui
apprécie la consommation festive de cannabis, je n’aime pas ce terme de
"légalisation". Si le cannabis devient une substance légale, aucune
restriction d’accès ou d’usage : j’en fais le commerce, je vends à des
mineurs, je donne des échantillons pour conquérir de nouveaux acheteurs, etc.
Je préfère
de loin "règlementation", comme cela est déjà pratiqué pour d’autres
drogues : médicaments, tabac, alcool.
J’en
"apprends" de bien bonnes dans ces colonnes ! "attention le
cannabis surdose peut entrainer des effets irrevercibles sur la sante notamment
schizophrenie" : Cela est faux ! Une overdose de cannabis va
entraîner un endormissement contre lequel il ne sera pas possible de lutter.
Les effets vont aller en s’atténuant avec le temps. Pas d’effet irréversible.
Pour ce qui est de la schizophrénie, celle-ci n’est pas causée par le cannabis.
Mais la schizophrénie (non encore révélée) peut être révélée par le cannabis.
Pour éviter
les clichés, la Mission Interministérielle de lutte contre la drogue et la
toxicomanie (MILDT) et l’Institut National de Prévention et d’Education pour la
santé (INPES) ont édité une brochure (dont on trouve des morceaux sur Internet)
qui s’intitule "Drogues : Savoir plus, risquer moins". Je trouve
qu’il s’agit d’un excellent outil pour les parents peu expérimentés dans ce
domaine et pour leurs ados.
par Béret
Man (IP:xxx.xx9.150.72) le 14 avril 2010 a 00H44
"le
cannabis surdose peut entrainer des effets irrevercibles sur la sante notamment
schizophrenie,"
Cela est
faux ! Relire Pommereau au besoin. Le cannabis peut révéler une
schizophrénie non encore exprimée lors des premières consommations, et il n’est
pas nécessaire de faire une surdose. Au passage, une surdose de cannabis provoque
un endormissement que l’on ne peut combattre et la "gueule de bois"
qui suit n’est pas irréversible !
Je
recommande à tous la lecture d’un fascicule réalisé et diffusé par l’état
français qui s’intitule "Drogues, savoir plus, risquer moins". Le
cannabis y est traité avec honnêteté.
par cannabiBI
(IP:xxx.xx8.129.227) le 21 février 2015 a 09H46
LA
SCHIZOPHRENIE ET LA BI POLARITE N’ONT RIEN A VOIR AVEC LE CANNABIS. JE SUIS
ADDICTOLOGUE, VOUS RACONTEZ N’IMPORTE QUOI
par toon
(IP:xxx.xx3.109.177) le 6 avril 2010 a 19H09
je rappelle
que les contree verités sont interdites. le cannabis haute toxicité..... l’OMS
organisation mondiale de la santé à fait un classement sur la toxicité des
drogues en trois groupes ; les haute toxicité : héroine, crack,
ALCOOL et d’autres styles GHB les moyenne toxicité : champignons, extasy,
TABAC, cocaine les basses toxicité : chocolat, cafe, CANNABIS je ne fais
pas l’apologie des drogues, car la toxicité n’est pas le seul problème des
drogues mais pourquoi des produits de haute toxicité sont vendus et que l’on
diabolise le cannabis
tous les
arguments des personnes voulant que le cannabis reste interdit devrait s’amuser
à remplacer le mot cannabis par le mot alcool ou cigarette
que l’on
donne des positifs arguments pour une troublant mais pourquoi blinder nos
prisons de petits dealers de 18-20 ans qui vont cotoyer des criminels, des
voleurs ou autres pedophiles... tout le monde connait des fumeurs, les imaginez
vous la ??????
de plus, le
cannabis consommé chez soi trankil ennuie qui ? et pour faire le parallele,
une soirée entre amis, certains boivent, certains fument.
evidement,
toutes enfants de moins de 18 ou 21 ans, ne devraient pas avoir le droit d’en
consommer mais pourquoi sectariser les gens, les fumeurs, chez eux, ne genent
personne, et aimeraient, comme tout le monde, être libre de deguster le panel
d’herbe et la variete de celle ci comme certains avec le vin, le sky ou autres
mais si vous
estimez que le cannabis doit reste interdit, que l’on interdise l’alcool, le
tabac et la, les fumeurs se sentiront dans un pays juste et libre et je serais
plus fier d’un gouvernement qui soit logique dans ces choix, d’ailleurs, pour
ne pas le rapeller, les agriculteurs auraient un potentiel pour s’alimenter et
vivre sans faire venir le cannabis de l’afganisthan ou le maroc, lmais un
produit bien francais (desole mais 10% de fn, si ca fait 10% de oui pour la
legalisation, pour la 1ere fois, je serais moins haineux contre eux )
economiquement,
meme si c’est simpliste, cela remonterait notre PIB
allez, soyez
ouvert et reflechi, la guerre au hash n’est pas bonne pour notre pays et
totalement similaires a la prohibition pour l’alcool il y a qqs années le rejet
de la democratie est en partie lié a cette interdiction, comment respecte notre
republique si elle considere plus de 10 % de fumeurs (et encor, je ne suis
pas persuadé que tous les fumeurs ai dis la vertie ...)
je suis un
ancien fumeur, j’ai arrete le tabac et le hash en meme temps, mais 3-4 fois par
an, je vais en hollande pour savourer tisane et gateau en toute legalité, et
c’est bon
(IP:xxx.xx5.219.48)
le 6 avril 2010 a 19H36
le produit à
haute toxicité c’est l’alcool, les hopitaux pshycatrique sont engorgés par les
alcolo dépendants qui pete les cables : est ce qu’on met les dealers
d’alcool en prison ??? et puis le coup du cannabis qui rend schy ça a
vécu, c’est l’interpretation des medecins prohibitionistes et corrompus par les
labos pharmaceutiques ;le cannabis n’est pas un neuro toxique (étude de
l’inserm 1992)que les schy l’essaient en guise d’automédication c’est une autre
interpretation ,de toute façon si c’était vrai ;vu le nombre croissant de
consommateurs de cannabis, la proportion de schy devrait augmenter en
conséquence et ce n’est pas le cas. demi vérités demi mensonge comme d’hab,vrai
manipulation .scientologues (narconon )évangélistes
pharmaciens,alcooliers....politiques (tendance j’aime l’insécurité garanti au
moment des élections)
(IP:xxx.xx6.107.128)
le 6 avril 2010 a 20H07
Légaliser le
cannabis va justement dissuader les gens de fumer. Rappelez-vous la prohibition
de l’alcool aux Etats-Unis dans les années 30 : C’est à cette époque que
les gens y buvaient le plus. Par ailleurs, la France, qui a encore des lois
plutôt sévères par rapport à ses voisins en matière de drogues douces, est un
des pays européens où les jeunes consomment le plus de cannabis. Légalisation
incontrolée NON. Semi légalisation encadrée avec points de vente sous contrôle
absolu OUI.
par Moule
(IP:xxx.xx7.186.169) le 7 avril 2010 a 09H31
Les liens
entre schizophrénie et cannabis ne sont pas prouvés. Il existe des travaux qui
sont allés dans ce sens, mais les études ultérieures ont pointés des
imprécisions à ce sujet. A l’heure d’aujourd’hui on ne sait pas vraiment si des
liens existent ou non. Dans le pire des cas, le lien est de toute façon assez
faible. De toute façon, même si un lien etait avéré, la légalisation
permettrait de transférer l’argent utilisé à la répression vers la prévention,
la diminution des risques pour les consommateurs, la prise en charge précoce
par des psys, etc ... Pour plus d’infos, voir les deux articles suivants :
"Cannabis
et schizophrénie : le débat n’est pas clos" http://www.pistes.fr/swaps/51_155.htm
"Cannabis
et psychose : Etat des lieux" http://www.reseausanteaddictionsud....
par Titchote
(IP:xxx.xx4.90.178) le 7 avril 2010 a 11H12
A Personne
44, vous ne m’avez nullement offensé par vos propos et au contraire votre point
de vue sur les quelques 5000 possibilités qu’offre cette plante est une
perspective qui m’était totalement inconnue.
A Monsieur 2010,
vous avez totalement raison sur le fond de vos propos. Néanmoins je vous trouve
particulièrement dur avec moi sur la façon dont j’ai éduqué mes enfants. Sachez
que ma remise en question est quotidienne : j’ai eu deux enfants. Mon ainé
a parfaitement réussi dans la vie. Par contre, ma fille Céline n’est plus
depuis cette tragique journée du 30 août 2005. Dans ma culpabilité de mère
depuis son décès, je vous livre mon incompréhension car notre lien était
fusionnel, nous pouvions parler de tout et je ne pense pas avoir été
« donneur de leçon » Malheureusement ses troubles comportementaux se
sont accentués au fil du temps car elle n’a pas eu la chance d’avoir un père
aimant comme vous l’êtes pour vos enfants. Le cannabis n’a pas été le facteur déclenchant
mais a peut-être eu un effet accélérateur sur son état de santé.
A (IPxxx0
147 227) Merci pour votre message. En effet nous ne sommes pas seuls.
A
IP:xxx.6.251.163 le discours du professeur POMMEREAU est plus nuancé « 85%
des ados arrivent globalement à prendre leurs marques. Les autres, 15%, s’en
sortent mal parce qu’ils ont de bonnes raisons d’avoir des troubles de
l’identité »
A
IP:xxx.0.147.227 l’hypocrisie est réelle surtout lorsque les réactions à cette
problématique sont trop tranchées. Le « tout pour » ou le « tout
contre », cela me paraît un peu facile dans un contexte où quoi que nous
fassions, le constat est là « Le nombre de consommateurs a augmenté, et
ils sont de plus en plus jeunes »
A Moule je
n’ai pas la prétention de connaître les liens entre schizophrénie et cannabis.
Je suis partie d’un simple constat sur mon vécu avec mon enfant qui était
Borderline. Mon enfant faisait partie de ces « 15% qui s’en sortent mal
parce qu’ils ont de bonnes raisons d’avoir des troubles de l’identité » Je
pense mais mon point de vue n’engage que moi que la prise quotidienne et en
quantité de cannabis à eu un effet néfaste. Néanmoins, suis-je pour ou contre
la légalisation n’est pas une question à laquelle je saurais répondre, je n’en
ai pas les compétences : mon propos est de livrer mon témoignage et de
dire Attention DANGER pour les personnes fragiles
par Lagaffe
(IP:xxx.xx0.90.70) le 8 avril 2010 a 10H50
Daniel
Vaillant fut le Ministre de l’ Intérieur de Lionel Jospin. A ce titre, il
avait, à l’époque, tous les moyens de mener une réflexion et une action sur le
problème. Ca n’a pas été fait. Pourquoi ? Parce que ce genre de sujet est
hautement casse-gu... pour qui est au pouvoir et peu payant, électoralement
parlant. C’est plus facile quand on se retrouve dans l’opposition. Enfin, mieux
vaut tard que jamais...
Si les
jeunes ont inventé la planète ados, on les a bien aidés, en valorisant cette
catégorie devenue très spécifique, par des discours pas toujours désintéressés
(publicitaires, etc.) Un nouvelle clientèle et donc un nouveau marché comme
alternative aux rites de passage disparus ? Mais du coup, quand et comment
passer à la planète adulte ? Je peux voir autour de moi des ados de 40 ans
et plus. C’est sympa, sauf qu’entre temps ils sont devenus parents...
Concernant
le produit lui-même : oui il ne provoque pas de psychose, oui il peut en
lever une qui était latente et qui serait peut être restée dormante, encore
que, il n’y a pas que les toxiques qui peuvent réveiller ces pathologies. Des
relations malsaines (au sens psychologique du terme) et pleins d’autres
accidents de la vie peuvent le faire aussi. Quand à la variété du cannabis,
entre l’herbe et l’huile, par exemple, on n’est pas dans les mêmes effets parce
que entre se détendre et se casser la tête il y a une grande différence
d’intention. Et avoir besoin absolument de shit avant de commencer sa journée
ne relève pas du festif, loin de là, on est bien dans l’anxiolytique !
En tant que
professionnel de santé (secteur psy) j’ai pu voir, trop souvent, des
psychotiques utiliser le produit pour tenter de juguler leurs angoisses, à la
place de leur traitement ou en plus (avec tous les télescopages qu’on peut
imaginer au niveau du système nerveux central) Ca ne fait qu’introduire plus de
confusion chez le patient et compliquer la conduite d’un traitement.
A
l’auteur : vous avez parlé de lien fusionnel avec votre fille. Le terme
est lourd de sens. Si j’en crois le dictionnaire " Fusionnel,
fusion : se dit d’une relation affective dans laquelle les partenaires ne
parviennent pas à se différencier l’un de l’autre" Alors, si c’était vraiment
le cas, une piste ? Pas un jugement pour moi, ça ne sert à rien.
Pour finir,
j’ai pu me rendre compte que le Centre Abadie faisait un travail remarquable.
Si légalisation il y aura, ce sera une mesure d’ordre public essentiellement,
pas une mesure de santé publique, c’est
bien clair.
par Titchote
(IP:xxx.xx4.90.178) le 8 avril 2010 a 18H07
Merci pour
votre réponse. Me concernant, vous avez tout à fait raison.
par Lagaffe
(IP:xxx.xx0.90.70) le 8 avril 2010 a 23H44
Ne vous
connaissant pas, ni ne connaissant le détail de vos relations mère/fille, je me
suis borné à reprendre votre expression en me demandant si elle était adaptée
ou si c’était un mot pour un autre, ce qui peut arriver. C’est pourquoi j’ai
parlé seulement de piste.
Les
relations fusionnelles (majoritairement mère/fille, c’est normal au départ :
c’est un morceau de soi)) sont assez fréquentes, hélas et, au bout d’un moment,
personne ne peut s’y retrouver, donc confusion à tous les niveaux.
Ce genre de
relations s’expliquerait par la projection de désirs personnels que l’autre est
"chargé" de réaliser à son insu et favorisé par un manque de
délimitation des rôles (je suis la mère, elle est la fille) Un héritage de
68 ? les parents-copains ? (en fait plutôt absents) Peut-être.
Objectivement, au minimum ça ne favorise pas l’autonomie (grandir)
J’ai eu
jadis un formateur qui usait d’une formule lapidaire à propos des états de
confusion psy. "la confusion est le résultat d’une fusion à la con !
" Assez hard mais donnant à réfléchir...
Toutes les
relations fusionnelles ne terminent pas en psychiatrie. Le coup de foudre en
est un exemple positif et quand il est fini on entend souvent "je n’étais
plus moi-même"...
Il est
certain que le cannabis pris comme un anxiolytique sur un mal-être n’arrange
rien, comme l’alcool. On est loin de "la cigarette qui fait rire"
par lidie
(IP:xxx.xx1.195.45) le 25 mai 2010 a 15H26
bonjour
je pense
sincerement que le cannabis est aussi dangereux que l’alcool ! mon mari
fumait ! un tous les soirs pour se detendre ! il travaillait beaucoup
et encore aujourd’hui malgré qu’il ai arreté et il est honnete .......il n’a
jamais été au delà ! moi je n’ai famais fumé d’herbe ! je me reveille
plus difficilement que lui le matin et cela depuis toujours ! il n’est pas
un malade et s’est toujours bien comporté ! un parmis tant d’autre que
j’ai connu ! j’ai vu aussi des personnes tomber dans l’alcool ! pas
joli a voir ! j’ai connu des personnes prendre son petit verre d’alcool tous
les soirs ! toujours bien ! travailleurs pas de problème de
comportement dans la famille ! ni ailleurs ! j’en ai connu qui buvait
mais sa famille etait malheureuse ! mon fils ainé fume et lui a beaucoup
de problèmes et je pense a cause de cela ! quand il ne fume pas il
boit ! il est chez lui maintenant a notre demande ! mon fils cadet
fume aussi de temps en temps ! il travaille ! ne prend pas de risque
en voiture ! lui aussi est chez lui mais pour des raisons de proximité au travail
j’en parle souvent avec lui ! il a vu que certaines personnes pouvait se
detruire avec les drogues l’alcool comme le cannabis ! et pourtant je
serais pour la legalisation du cannabis ! pour de pouvoir en planter dans
son jardin ! d’arreter de traiter ces jeunes d’aujourd’hui de hors la loi
parce qu’ils fume comme d’autre prennent un verre ! mon mari fumait de
l’herbe et l’appreciait comme moi une bonne coupe de champagne ! nos
enfants se cachent et prennent ce qui leur tombent sous la main bien souvent et
celle ci est bien plus dangereuse ! elle est coupée et de mauviase qualité
trop forte ! cette repression ne les empeche pas de l’apprecier ! ils
ont aujourd’hui des problèmes avec la loi ! avec leur permis de
conduire ! pour les jeunes qui travaille qui veulent s’en sortir difficile
pour eux surtout quand ils n’ont plus de permis ! simplement parce qu’ils
avaient un bout dans la poche ! pas besoin de faire une faute de conduite
pour etre embetté et avoir des problèmes ! il vaut mieux avoir une
bouteille d’alcool dans la voiture : on s’ennivre le soir et le lendemain
matin personne ne peut le savoir ! le cannabis oui ! il faudrait me
dire que l’alcool est moins dangereux ! que l’on ne risque pas de tomber
dedans ! que l’on ne risque pas de devenir un alcoolique ! que l’on
ne boit pas a 14 ans !
je ne suis
pas pour l’impunité surtout dans une voiture !! je ne suis pas pour les
drogues alcool et cannabis ! et bien sur cocaine etc ......
mais quand
je vois cette repression avec tous les exemples que j’ai pu connaitre OUI JE
SERAIS POUR UNE LEGALISATION DU CANNABIS !!
je ne pense
pas que cela serait pire qu’aujourd’hui ! au contraire ! et mon mari
a arreté le cannabis plus facilement que la cigarette ! il n’a plus
retouché a ça malgré les tentations qu’il a pu recevoir ! LA CIGARETTE OUI
il a craqué il refume !!
comment
savoir quand on boit un peu que l’on sera alcoolique ?? comment savoir si
on fume CIGARETTE OU CANNABIS de temps en temps que l’on sera un drogué ??
par ss
homdouangchay (IP:xxx.xx4.132.183) le 28 juillet 2010 a 14H48
Oui il faut
légaliser la consomation et la production de Cannabis.L’Etat se doit de
contrôler le commerce de Cannabis, afin de percevoir des recettes fiscales non
négligeables, ne serait ce que la tva à 19.6 pour cent.On pourait alors mieux
lutter contre les trafficants mafieux qui donnent du shit à la paraffine, à la
colle et au henné à nos jeunes.La prohibition doit cesser !!
par serial_smoker
(IP:xxx.xx7.169.150) le 24 octobre 2011 a 16H18
Oui
légalisons le cannabis, Sa va créer de l’emploi et des tunes pour nos futurs
retraités =) il faut que les gens évoluent mais je pense pas que la france soit
prête a cela. m’enfin essayons .............