Me voici vraiment seule, mon bébé m’a quittée
C’était un petit chien ; petit bichon maltais
Il avait pleuré avec moi le départ de mon aimé
Et les pleurs d’Ubert ne manquaient pas de
virtuosité
Ces sons qui étaient venus du fin fond de sa gorge,
Rythmaient mes pleurs et mes caresses à mon bébé blessé
D’intelligence et d’émotivité un animal regorge
Il n’est que la tendresse, que l’amour qui peut l'apaiser
Me voici vraiment seule, mon bébé m’a quittée
Qui m’apaisera, moi, dans les sons que j’émets
Merci, oh mes amis, d’être là pour m’aider,
Sans retenir mes pleurs j’aime vos vœux partagés
Pour l’instant, le courage n’est pas mon actualité
Je laisse s’exhaler chez moi mon émotivité
Sans témoin, sans retenu, mes larmes peuvent couler
Dans mon lit, sous ma couette, oui, je me laisse
aller…
1 commentaire:
Si l'humain savait aimer comme nos amis les bêtes. Elles nous donnent leur amour, leur tendresse, leur confiance sans faille. Cet amour là ne connaît pas l'hypocrisie, cet amour là est pour la vie, leur trop petite vie...
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