Il
est une personne dont je n’ai pas parlé dans mon récit
Il
s’agit de mon amie Marjorie qui était là chaque soir après son travail
Majorie
est une collègue de travail, devenue mon amie
Petite
maigrichonne, maman de 5 enfants, elle est de toutes les batailles
Dans
ces dix jours d’enfer où j’ai dû accepter de perdre Jean-Luc
Elle
m’apporta son soutien, et je buvais ses mots ; il s’est passé un truc
Elle
a connu dans sa vie tant se souffrance, tant de malheur aussi
Pas
de cadeau pour ce couple soudé qui a fait face à l’adversité
Jamais
elle ne se plaint, elle agit tout le jour avec minutie.
Elle
a une force de caractère qui conforte l’admiration
Et
moi je suis sidérée par son altruisme naturel
Elle
pense aux autres avant de penser à elle
Elle
porte en elle les ressorts de la dynamisation
Elle
était présente à l’enterrement avec son amie Dominique
Et
de se joindre toutes deux à cette commémoration
Mon
cœur de tendresse était pris d’une faim boulimique
L’amitié
traversant les années, je l’appelle, elle est là
Je
suis fière de cette amitié, simple, sans chichi sans tralala.
Marie-Claude LEFRERE
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